samedi 17 mars 2012

Candle shot.

Encore de (très) vieilles photos, désolé mais au moins c'est posté ! 
Enjoy :]
























jeudi 15 mars 2012

Frozen lake.

English time today.
So those photos were taken in Boran, a little town near mine. 'Fiu want a little secret, it's more the manures' town than the horses' town but it could be really cool when it's cold 'cause of the little lake. Brief, I hope you'll enjoy !
(oh some of them are a little bit ... awkward for me but I love u so...)


[bon ok c'était nul ce moment d'anglais donc pour ceux qui ne sont pas comme moi amoureux de la magnifique langue de Shakespeare...]
Donc ces photos ont été prises à Boran, une petite ville près de la mienne. Si vous voulez une confidence c'est plus la ville du crottin de cheval que la ville du cheval mais elle peut être vraiment cool quand il fait froid grâce à son lac. Bref, j'espère que vous allez aimer.
(oh certaines de ces photos sont un peu... embarrassantes pour moi mais je vous aime donc bon...)


Modèle : X. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Moi. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Moi. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Margot T. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Margot T. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Margot T. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Margot T. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Moi. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Margot T. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Margot T. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Moi. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : X. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Margot T. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : X. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Margot T. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : Margot T. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.

Modèle : X. Retouches.
© Edouard HENRIO - 2012.


mercredi 14 mars 2012

J'écris aussi. Un peu.

Bref, je pense que tout est dans le titre... En fait voilà ce blog est (était) un blog photo, essentiellement. Jusque là je pense que tout le monde est capable de le deviner... Mais bon je me dis que peut-être les plus courageux d'entre vous souhaiteraient voir ce que je fais d'autre et ... j'écris ! Et oui ça m'arrive on va dire. J'ai un ... projet, une histoire en ce moment. Je déteste dire "j'écris un roman !" ça fait un peu "je suis le prochain J.K. Rowling au masculin, salut !" donc je dis que j'écris une histoire et que je prie fort pour la terminer. Actuellement j'ai 160 pages de cette histoire et elle est loin d'être finie. Vous vous douterez que, arrivé à ce point, je ne peux pas vraiment la poster entièrement sur ce blog pour des soucis de plagiat mais si je trouve des morceaux qui peuvent bien s'échapper du contexte, je le ferai. Je posterai aussi sans doute d'autres textes que j'écris quand je m'ennuie (ahah) ou pas d'ailleurs. Bref, bonne lecture !

mercredi 7 mars 2012

Sombre manoir.

Comme promis, j'avais dit que je vous posterai quelques uns de mes textes alors voilà !
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Sombre manoir.
La jeune femme pose un pied nu sur le tapis. Voluptueuse. Un nuage de poussière se soulève. Elle s'avance dans sa robe blanche comme une statue des temps jadis. De temps à autres le sol de poussière est troublé par un point de larme. Elle roule, elle roule et sécrase. D'autres suives. Plus fluides. On n'arrête pas des larmes. Elle ne les arrête pas. Elle marche, la tête haute. Le couloir des horreurs, affublé de ses portraits affreux, défile autour delle sans quelle sen préoccupe. Elle entrouvre ses lèvres rouges sang pour sangloter. Pourtant il y a cette flamme. Cette flamme noire dans ses yeux océan. Encore une fois elle relève la tête. Encore une fois elle détourne les yeux de sa robe neige tachée de sang. Déchirée. Comme un étendard d'un passé révolu.
Et dans ses mains, elle le sert.
La jeune femme s'avance encore. Le hall de la demeure avait du être majestueux avant leur disparition. Elle pleure. Encore. Le tonnerre gronde au dehors. La pluie vient sajouter au torrent des larmes. Le plafond de verre était majestueux autrefois. Encore révolu. Ses dents de verre, telles des monstres agressifs laissaient s’écouler la fureur des cieux.
Et dans sa main, l'éclat argenté.
La jeune femme monte les marches doucement. Presque voluptueusement. Elle est magnifique. Comme toujours. Comme toujours, elle pleure. Elle contemple ses mains en tremblant. Ses jambes tâchées de sang. Ses longs cheveux ébène coulent en rideau dans le creux de ses reins nus, dissimulant à la face du monde ce dos maigre.
Et dans la main, le tranchant.
La femme continue de monter. De pleurer. Elle arrive en haut. Son regard accroche le lustre jadis au plafond. Ce lustre brisé comme elle l'est, ce lustre à même le sol, plus bas que terre. Ce lustre jadis plus brillant que toute chose. Comme elle. Ses yeux brulants sondent le vide en bas. Il lui chante une berceuse. Il l'attire la cajole. Elle rompt l'étreinte et s'élance dans le couloir.
Elle court. Encore. Plus vite. Plus loin.
Et elle pleure aussi. Encore. Plus qu'avant.
Et soudain une porte. La poignée tourne comme autrefois. La clé s'y glisse comme avant. Et elle franchit l'encadrement. Elle est essoufflée. Elle a arrêté de pleuré. Là se tient un homme. Il est attaché. Il a le visage émacié, sale. Il lève vers elle des yeux terrifiés. Et terrifiants. Elle lui arrache son bâillon.

« Non ! Non attends je peux tout expliquer ! Je ne voulais pas tous les tuer ! ISABELLE ! »

Trop tard. Isabelle avait fendu l'air du coutelas, plus vive que quiconque. L'arme blanche avait bien porté son nom dans les mains d'Isabelle. Elle pleurait. Elle n’était pas plus heureuse. Elle fit volte face et couru dans le couloir, soulevant des nuages de poussières. La magnifique jeune femme s'arrêta à la balustrade du troisième étage et contempla le vide. Longtemps. Lorsqu’elle entendit des voix pressée arriver dans la grande pièce tout en bas, elle prit son élan et s’envola. Toutes ces dernières elle avait attendu ce moment. Pur. Intense. Isabelle tombait. Elle était déjà morte depuis longtemps de toute façon.

Elle s'écrasa mollement sur le tapis, aux pieds de l'inspecteur.

Vengeance.

© Edouard Henrio.

jeudi 1 mars 2012

Snow White.

Parce que le conte de Blanche Neige se terminait un peu trop bien, nous avons décider de changer l'histoire... Juste un peu.
Elles sont normalement dans l'ordre et se lisent comme un roman photo ♥
Edouard Henrio © 2012
























































Belle. Pour toujours.